meccha-maccho

IT IS MY CYBER SHOCK

Jeudi 16 septembre 2010 à 19:12

Je continue,
petit à petit,
je m'insinue.




En ce moment je suis en plein trip existentialiste. J'ai récemment lu "l'existentialisme est un humanisme" de Jean-Sol Partre (Y'a une blague très littéraire dans ma phrase, avis aux amateurs ahah) et pour tout vous dire,
ça m'a troué les fesses, cock dans le zen ! pompe sur la tempe ! ça a fait bim bam boum... badaboum dans ma tête.
Ok, je suis une littéraire. J'assume.
Mais revenons-en aux faits. Sartre, c'est juste énorme. Je veux dire, j'avais déjà lu quelques-uns de ses romans, quelques-unes de ses nouvelles, des pièces de théâtre. Mais un essai, jamais.
J'aime la pensée existentialiste. J'ai pas envie de développer ici, parce que ça serait trop long, et puis l'avis d'une adolescente boutonneuse sur ce genre de choses n'intéresse guère mes lecteurs (qui se font de plus en plus rares d'ailleurs.).

Donc, je dirai juste aux très chers dépressifs qui viendraient s'aventurer ici de se dépêcher de lire tout ça, et d'en tirer des conclusions.

Sinon, sujet moins sérieux.
En ce moment je taf' comme un porc. Bon dieu, à tous ceux qui accusent les L de n'être que de pauvres glandeurs, des fumeurs de tarpé ou des ratés sans avenir, et bien à tous ceux-là, j'aimerai leur adresser une petite chanson très gentille :

optempère.
pédale de merde.
j’appelle à la haine, au meurtre, au viol.
 à la tuerie, au massacre, à la furie au napalm.
Que des bâtards de barbares
Tu cries comme une pute, ta peau se décolle.
Que des bâtards de barbares.
Et gentiment je t’immole…


Je m'égare, je m'égare ! Donc, je disais, je bosse bien en ce moment. Certes, je ne finirai pas dans un labo stérilisé à crier au scientifique d'à côté "Eurêka !", ni chef d'entreprise à dire, comme le Ô combien respectable monsieur Leclerc, que "Le rouge et le noir" de Stendhal m'a donné la valeur de l'ambition (Ironie très littéraire, une fois de plus). Bref, j'arrête avec mon humeur tranchante.

Parlons de choses plus gaies !
Globalement, ma vie en ce moment est un désastre. On frôle la blague. Pour vous donner une comparaison, c'est comme si j'avais mis deux ans à fabriquer un énorme gâteau. Comme si, seconde après seconde, je l'avais agrandis tout en le fissurant. Et puis, du jour au lendemain, les fissures se sont faites trop amples, trop larges et le gâteau s'est écroulé. Certes, les optimistes me diront "Construis-en un autre !", les utopistes "Reconstruis-le", les pessimistes (mes préférés en somme) "Jette-toi dedans, écrase-le et balance-toi par la fenêtre". J'ai choisi la deuxième option.
Donc, depuis environ un mois, je tente, tant bien que mal, de recoller par-ci par-là un peu de crème sucrée, de rajouter un peu de chantilly, une petite cerise aussi. Mais le gâteau est quand même bien casse-gueule. On dirait un peu les tours jumelles le 12 septembre quoi.


La semaine dernière je suis allée dans une sorte de boîte glauque dont on s'est fait viré (je ne vous dirai pas pourquoi, c'est pas ma fauuute à mooooi) mais qui nous a accepté de retour, car de toute façon, la DJ a bien accepté qu'on revienne. ALLELUIA. C'était très sympathique, ou plutôt très freaky, mais qu'importe. J'en garde un souvenir mousseux.

http://i52.tinypic.com/2rxfre8.jpg
J'aime particulièrement cette photo.

http://i51.tinypic.com/16bip3l.jpg

Breffons, j'avais envie de vous faire une petite page culturelle et tout, genre les films à pas rater, les livres à pas rater, les groupes à pas rater. Mais j'ai PAS LE TEMPS, je dois répondre à une question... Faire une dissertation quoi. Youpi les amis !

 


Jeudi 2 septembre 2010 à 9:40

Ok. (0 killed)


J'en ai eu marre de faire semblant d'être ce que je n'étais pas. Après avoir traîné ma carcasse quelques temps entre enfer et paradis...


Je suis de retour.

 

Matte-ça petit jaloux. Tu n'imagines même pas où j'étais à ce moment-là, quelle heure était-il et ce que j'ai bien pu endurer la veille.Mais oublie ça et regarde ce beau lever du soleil, cette vue qui m'a fait oublié, le temps de son apogée, pourquoi je n'y étais pas accompagnée.


Ah et pour l'info, ça s'appelle Vama veche. J'ai pris le train avec quelques potes et nous sommes partis, comme ça, une nuit.

Si vous faites de vagues recherches sur Vama veche, vous aurez une idée de ce qu'on peut y vivre.

Une phrase, prononcée par un type rencontré en soirée m'a marquée. Elle représentait bien, j'ai trouvé, la philosophie de l'endroit. Il a dit, ou plutôt il a crié en titubant (je vous la traduit, je vais pas me taper l'affiche avec l'anglais) :

"Vama veche, c'est la liberté à la portée de chacun".




Respect man. Comme quoi, dans un état second, certains peuvent sortir des phrases à garder dans les annales.

 

 

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